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Voici les 3 priorités majeures, les 5 défis de la mobilité et les 101 recommandations de Mobia destinées au monde politique en prévision des  élections de 2024.

Les fédérations de mobilité FEBIAC, RENTA et TRAXIO forment une alliance sous le nom de “Mobia”. Nous représentons quelque 10 000 entreprises, 160 000 employés et une valeur ajoutée de 11,5 milliards d’euros, soit 2,6 % du PIB.

Avec ce mémorandum, nous tendons la main au monde politique pour relever ensemble les défis de la mobilité de demain. Nous avons synthétisé nos recommandations politiques mais souhaitons avant tout entamer un dialogue et entendre comment nous pouvons, en tant que secteur, contribuer encore mieux aux défis de la mobilité en termes de durabilité, de fluidité, d’accessibilité, de sécurité et d’emploi.

Memorandum mobilité de Mobia 2023

Poppy Mobility, l’entreprise de mobilité partagée de D'Ieteren Automotive, double sa flotte et s’étend aux 19 communes de la Région, pour répondre à la demande croissante.

Depuis quelques jours 500 nouvelles voitures rouges circulent à Bruxelles. Elles viennent s'ajouter aux 500 autres voitures de l’opérateur déjà disponibles sur le territoire de la capitale.

Poppy a connu une croissance sans précédent depuis la fin de la pandémie. "Grâce au télétravail, les voitures privées sont de moins en moins utilisées. En dessous de 12 000 kilomètres par an, une voiture partagée est moins chère et plus pratique" explique Sylvain Niset, CEO de Poppy.

Pour répondre à la demande croissante, l'opérateur a décidé de doubler sa flotte de voitures. "Cela augmente considérablement la qualité du service", explique Sylvain Niset. "Cette expansion nous permet de toujours proposer un véhicule à proximité de l'utilisateur, sur une zone bien plus étendue. Il faut désormais marcher moins longtemps vers une Poppy que vers sa propre voiture garée en rue!”

L‘entreprise Belge est la première à étendre son service de voitures partagées sans station fixe sur les 19 communes de la Région. Grâce à sa collaboration avec la Région de Bruxelles-Capitale, une voiture louée peut être laissée dans n'importe quel emplacement de parking public, sans avoir à payer.

Elke van den Brandt, Ministre bruxelloise de la mobilité, se réjouit de l’expansion de cette société de voitures partagées :  “Les voitures partagées sont l’avenir de la voiture en ville. D’une part, elles permettent aux familles d’avoir accès à une voiture sans devoir en supporter les coûts. Et d’autre part, elles encouragent une utilisation résiduelle de la voiture, on l’utilise uniquement quand on n'a pas d’alternatives efficaces (marche, vélo, transport en commun), par exemple, pour aller chercher sa grand-mère, pour aller faire des grosses courses d'ameublement ou encore emmener un bébé malade chez le pédiatre. L’autre avantage de la voiture partagée est l’espace immense de stationnement qu’elle libère dans la ville, espace qui peut être utilisé pour mettre en place un espace public de qualité : des places, des terrasses, arbres, parcs, petites aires de jeux pour les enfants, grands trottoirs, bref une ville plus fluide, plus verte et plus conviviale”.

Sécurité Routière

Une expansion qui n’aurait pas été possible sans les avancements technologiques de l’entreprise, nous explique son CEO: “Ces derniers mois nous avons investi énormément dans un système de gestion de risque. Sur base du style de conduite de l’utilisateur, il envoie des messages préventifs, ou peut même aller jusqu’à bloquer temporairement ou définitivement des utilisateurs adoptant régulièrement un style de conduite dangereux. Nous sommes en passe de réaliser plusieurs millions de trajets par an sur les routes belges. En tant que leader du marché de la mobilité partagée, nous avons le devoir de tout mettre en œuvre au profit de la sécurité routière".

Poppy Mobility propose des véhicules partagés qui peuvent être déverrouillés via une application mobile. Le système fonctionne avec un prix par minute ou par kilomètre, par heure ou par jour. Le carburant et le stationnement sont inclus. Plus de 10 modèles différents, électriques et à essence, sont proposés : des citadines durables, des modèles haut de gamme ou même des camionnettes peuvent être louées via l'application.

L'entreprise est également présente à Anvers, Gand, Malines, Lier, Liège et dans les aéroports belges.

A l'occasion du Earth Day (22 avril), D'Ieteren annonce son partenariat avec Sylva Nova qui travaille, depuis 30 ans, à la préservation et à la restauration de forêts, en Belgique et au-delà.

Investir dans la conservation et l’extension forestière est en ligne avec la volonté de D'Ieteren de réduire l'impact environnemental de ses activités et de globalement contribuer à un monde plus durable. Les forêts y jouent en effet un rôle crucial et multiple ; que ce soit pour le climat, la biodiversité, les sols, les paysages ou encore notre bien-être.

Cet investissement vient compléter les mesures prises en compte pour réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre de ses activités et des produits commercialisés.  D'Ieteren s'est en effet engagé à atteindre des objectifs à court et moyen termes de réduction de ses émissions en conformité avec les accords de Paris et vise ainsi la neutralité carbone (Net Zero) avant 2050.

Denis Gorteman : “D’Ieteren s’emploie à développer une mobilité fluide et durable pour tous afin de réduire l’impact des déplacements sur l’environnement. Au-delà des initiatives que nous prenons en termes d’offres multimodales et de notre engagement à réduire drastiquement nos émissions de CO2, nous voulons également investir dans la protection des écosystèmes naturels qui sont les meilleurs alliés dans la lutte contre le changement climatique.  Notre partenariat avec Sylva Nova concrétise cette volonté. »

LE PROJET

Le partenariat entre D'Ieteren et Sylva Nova portera principalement sur la préservation de forêts à la fois en Flandre (province du Limbourg) et en Wallonie (province de Liège); ce sont 164 Ha de forêts existantes qui seront ainsi conservées et pérennisées au travers d’actions opérationnelles à plus-value environnementale (entretien, sélection/protection de la régénération naturelle, plantation d’ilots de diversification, sanctuarisation des arbres habitats, conservation des zones humides potentielles…).

Des actions complémentaires de plantation sont également prévues ailleurs sur le territoire:  22.500 arbres par an, soit 67.500 arbres environ sur la durée du contrat.

Ce partenariat porte à l'heure actuelle sur un premier contrat de 3 ans, une durée qui s’inscrit mieux dans la temporalité de la forêt à long terme.

• La Forêt de Duras dans le Limbourg : forêt mixte de 132 Ha composée de peupleraies (40%), élément traditionnel du maillage paysager local, et de belles futaies (60%) faites d’essences indigènes variées. On y trouve également une très belle chênaie ancienne et d’autres sujets remarquables. Elle se caractérise en outre par une grande capacité de séquestration carbone. Son management est réparti entre une gestion dynamique des peupleraies, assurant la fonction économique de la forêt et une gestion douce et peu impactante des futaies et zones naturelles (étangs, zones humides) à des fins de conservation.
• La forêt d'Argenteau dans la province de Liège : forêt péri-urbaine de 32 Ha très fréquentée, véritable poumon vert entre Liège et Maastricht, dont les peuplements à dominante de hêtres sont menacés par les sécheresses répétées. Cette forêt doit être diversifiée et enrichie pour en garantir la pérennité et permettre à tous les nombreux visiteurs qui y accèdent librement de continuer à en profiter.

Pierre Hermans, Sylva Nova : "En raison de sa taille et de sa fragmentation, le territoire de la Belgique n’offre pas de vastes espaces à convertir en forêts supplémentaires. Dans le contexte de réchauffement climatique et d’érosion de la biodiversité actuel, il est indispensable d’agir sur les massifs forestiers existants, afin d’assurer leur conservation à long terme et de maximiser les services écosystémiques rendus. Conserver une forêt, c'est apporter une plus-value à sa région et à sa population pour plusieurs générations. Merci à D'Ieteren d’y contribuer."

Sylva Nova pratique une sylviculture non invasive, qui mise sur la diversité des essences et qui bannît à la fois les coupes massives et les records de plantation.  Elle favorise le couvert continu et la futaie irrégulière, indispensables pour la régénération naturelle. Sylva Nova compte près de 3000 Ha de forêts en gestion forestière (permanente ou ponctuelle), en Belgique et en France. Parmi celles-ci, 850 Ha sont certifiés FSC dont la majorité en Belgique précisément. De plus, par ses actions de reforestation/conservation, Sylva Nova a un impact positif sur 600 Ha additionnels annuellement.

Préserver la forêt est une nécessité !

L’ONU en a d’ailleurs fait un de ses 17 « Sustainable Development Goals » : objectif 15, Life on Land.

La Forêt est un auxiliaire indispensable à la persévération globale de notre environnement. Elle capture et stocke la surdose de CO2 liée à nos activités humaines, elle contribue à la filtration de l’eau, elle évite l’érosion des sols et les nourrit de matière organique, elle contribue à la régulation du climat, elle abrite 80 % des espèces animales terrestres et constitue un formidable réservoir de biodiversité, elle soutient l’agriculture en améliorant la vie du sol (agroforesterie), elle dispense de la fraicheur…

Aucune technologie ne peut en faire autant, et pourtant, la Forêt est menacée.

Envie d'en savoir plus ?

Pierre Hermans, fondateur de Sylva Nova, vous invite, en équipe, à une visite sur site pour vous présenter le projet : Sylva Nova

Earth Day :

L'objectif de cette journée est de sensibiliser la population à la protection de l'environnement et l'encourager à adopter un comportement écologique. Aujourd'hui, ce sont près de 500 millions d'habitants partout dans le monde qui célèbrent cette journée. En 2023, le jour de la Terre est le 22 avril et le thème : Invest in our planet!

Toute l’équipe D’Ieteren est très fière de l’entrée de la société dans le classement des LinkedIn Top Companies.

Cette nomination reconnaît D’Ieteren comme l’une des meilleures entreprises en matière d’attractivité et de rétention des talents de haut vol.

En tant qu’employeur, nous nous efforçons de créer le meilleur environnement de travail possible pour tous nos collaborateurs. Nous voulons promouvoir des conditions de travail inspirantes et une vision claire de notre avenir. Nous sommes en train de bâtir un écosystème de mobilité durable et homogène pour tous, car nous sommes convaincus que la mobilité est bénéfique tant pour notre bien-être que pour notre prospérité.

We’re all D’Ieteren

Berchem - Nous avons déjà prouvé en début d’année que Lucien était une équipe forte, grâce à plusieurs belles acquisitions à Bruxelles. Ce qui nous a permis de bien commencer notre saison. Cependant, cela ne signifie pas que nous nous reposons sur nos lauriers. La clé est de continuer à innover pour rester à l’avant du peloton. C'est pourquoi nous ouvrons avec Lucien Berchem un tout nouveau magasin à Anvers.

Lucien Berchem ouvre ses portes au grand public début avril. Le bâtiment, un ancien showroom de voitures situé sur la Grotesteenweg 406, a été transformé en un magasin de vélos spacieux et élégant en un rien de temps. Un look durable pour un produit durable. Le vert et le bois prennent une place centrale dans l'intérieur, ce qui convient parfaitement à une solution de mobilité durable comme le vélo.

Chez Lucien Berchem, vous trouverez les marques de qualité que vous avez l’habitude de retrouver chez nous : Riese & Müller, Norta, Urban Arrow, Bullitt, et bien d'autres encore. Vous trouverez également tous les accessoires appropriés pour vous mettre en selle. Sans oublier notre excellent service et le sourire de notre équipe.

Chez Lucien Berchem, vous trouverez les marques de qualité que vous avez l’habitude de retrouver chez nous : Riese & Müller, Norta, Urban Arrow, Bullitt, et bien d'autres encore. Vous trouverez également tous les accessoires appropriés pour vous mettre en selle. Sans oublier notre excellent service et le sourire de notre équipe

Lucien compte désormais un total de 14 magasins à Bruxelles et Anvers. Au début de cette année, nous avons ouvert 4 nouveaux magasins : Alpha Bikes avec ses succursales à Lasne, Uccle et Woluwe-Saint-Pierre, et Cyclo Europe à Evere. Cependant, l'histoire ne s'arrête pas là, car comme tout cycliste de haut niveau, Lucien est ambitieux. Notre objectif est donc de continuer à développer l'histoire de Lucien dans d'autres villes centrales au cours des prochains mois. À suivre.

On espère vous rencontrer bientôt chez Lucien Berchem !

Le stationnement est possible juste devant la porte. Nous serons ravis de vous accueillir avec une délicieuse tasse de café et une bonne conversation.

Lucien Berchem
Grotesteenweg 406
2600 Anvers – Berchem
Mar - Sam: 10h à 18h

Poppy Mobility, la start-up de mobilité partagée du groupe D'Ieteren Automotive, rencontre un franc succès à Liège et décide d’ajouter une zone à l’aéroport.

Liège, le mardi 4 avril 2023 - Deux mois après son lancement à Liège, l’entreprise d’autopartage Poppy se félicite de ses premiers kilomètres sur le sol wallon.

Présentes dans le paysage liégeois depuis le 7 février, les voitures partagées rouges de Poppy ont déjà fait un bon bout de chemin. Selon Sylvain Niset, CEO de Poppy, “les Liégeois étaient clairement en attente d’une solution de voitures partagées hyper flexible telle que celle que propose Poppy”. Les chiffres de la jeune entreprise annoncent d’ores et déjà un record: “C’est l’adoption la plus rapide qu’on ait vue dans les villes qu’on a ouvertes récemment.”

Qu’est-ce qui explique cette adoption si rapide par les Liégeois? Selon le CEO de l'entreprise, c'est une évidence: “Liège est une ville au cœur de l'Europe regroupant plus de 12 000 entreprises actives, plus de 1000 cellules commerciales dans son hypercentre et un peu moins de 200 000 habitants ayant un taux de motorisation de moins de 40%. Son territoire étant bien balayé par les voitures Poppy permet aux citoyens de se déplacer facilement vers l'hypercentre et les différents pôles (hôpitaux, enseignement supérieur, etc).“

“Cette solution vient compléter l’offre multimodale qui existe sur le territoire liégeois. Ces véhicules s’inscrivent comme un maillon supplémentaire dans la chaîne d’une mobilité plus flexible et accessible à tout un chacun” explique l’échevin de la Mobilité, Gilles Foret.

Afin de compléter son offre, Poppy annonce également le lancement d’une nouvelle zone à l’aéroport de Liège. Après l’aéroport d’Anvers, de Bruxelles et de Bruxelles Sud Charleroi, c’est au tour de l’aéroport de Liège d’accueillir le service de voitures partagées Poppy. Les places sont disponibles au parking P1 et la taxe d’aéroport s’élève à 5€ pour déposer ou reprendre un véhicule sur place.

Les voitures partagées Poppy fonctionnent sans stations fixes, avec un prix tout-inclus (exceptés les taxes d’aéroports). L’essence, l’assurance, la maintenance et le parking dans les zones Poppy sont compris dans le prix. L’utilisateur reçoit le choix de payer à la minute ou d’opter pour des pass, proposant des tarifs réduits à partir d’une heure jusqu’à 14 jours.

Poppy Mobility, la start-up de mobilité partagée de D'Ieteren Automotive, double sa flotte à Anvers pour répondre à la demande croissante.

Anvers, vendredi 31 mars 2023 - D'ici la fin du printemps, 450 nouvelles voitures rouges circuleront à Anvers. Elles viendront s'ajouter aux 450 voitures partagées déjà disponibles à ce jour.

L'entreprise, fondée à Anvers en 2017, a connu une croissance sans précédent depuis la fin de la pandémie. "Avec le télétravail, les voitures privées sont de moins en moins utilisées. En dessous de 12 000 kilomètres par an, une voiture partagée est moins chère et plus pratique" explique Pierre de Schaetzen, CMO de Poppy.

Pour répondre à la demande croissante, la startup D'Ieteren Automotive a décidé de doubler sa flotte de voitures. "Cela augmentera considérablement la qualité du service", explique Pierre de Schaetzen. "Cette expansion nous permettra de toujours proposer un véhicule à proximité de l'utilisateur.”

Partout dans la ville d'Anvers et dans 10 communes environnantes de la Région de transport d'Anvers, on peut louer ou déposer l'une des 900 voitures partagées. Il n'y a pas de places de parking fixes. Grâce à une étroite collaboration avec la ville et la région des transports, une voiture louée peut être laissée dans n'importe quel parking public sans avoir à payer.

Koen Kennis, échevin de la mobilité et président de la Région des transports d’Anvers, se réjouit de cette expansion : "Il s'agit d'une évolution intéressante que la ville et la Région des transports suivent avec beaucoup d'intérêt. Les voitures partagées retirent les voitures privées de la circulation, ce qui contribue directement à l'habitabilité et au nécessaire transfert modal dans la région."

Poppy Mobility propose des véhicules partagés qui peuvent être déverrouillés via une application mobile. Le système fonctionne avec un prix par minute, par heure ou par jour. Le carburant, le stationnement, l'assurance et l'entretien sont inclus. Plus de 10 modèles différents, électriques et à essence, sont proposés : des citadines durables, des modèles haut de gamme ou même des camionnettes peuvent être louées via l'application.

D’Ieteren lance la construction d’un réseau de vente et d’après-vente pour la Microlino, une petite citadine électrique qui s’inscrit dans le futur de la mobilité. L’importateur historique des marques du groupe Volkswagen en Belgique est en effet devenu le distributeur de la Microlino en 2022 pour la Belgique, la France et le Grand-Duché de Luxembourg.

Rémy Dumont - Managing Director D’Ieteren Micromobility : « Nous cherchons activement à créer un réseau de distributeurs en France, constitué de partenaires avec l’expertise nécessaire pour développer le segment de la micromobilité. »

Plus compact qu’une voiture et plus confortable qu’un scooter, la Microlino est une nouvelle réponse pratique et attrayante à la demande de mobilité individuelle électrique pour les trajets du quotidien.Imaginée en Suisse et fabriquée en Italie, la Microlino est une deux places dont la vitesse maximale est de 90 km/h et dont l’autonomie peut atteindre 230 kilomètres. De quoi offrir une vraie polyvalence à l’usage, un temps de recharge rapide sur une prise de courant classique et une consommation contenue d’environ 7 kWh/100 km.

Rémy Dumont : « Nous sommes convaincus du potentiel de ce nouveau marché et de la place que peut prendre cette formule de mobilité légère, flexible et avec des coûts d’utilisation particulièrement réduits dans nos déplacements quotidiens. L’impact écologique de ces véhicules est également nettement plus faible que les voitures classiques, même électriques. »

En France, la Microlino s’inscrit dans la catégorie de véhicules L7 et est accessible aux détenteurs du permis de conduire B1 dès l’âge de 16 ans. Le démarrage commercial de la marque est prévu au cours de l’été prochain.

Pour original et innovant qu’il soit, la Microlino n’est pas un coup d’essai pour D’Ieteren. L’importateur a lancé depuis quelques années une vaste offre de solutions de mobilité qui va au-delà de la vente de voitures. L’objectif poursuivi est de créer un écosystème complet de solutions de mobilité fluides et durables et de consolider sa position de leader de la mobilité individuelle sur son marché. Les voitures, les vélos et les trottinettes partagées de Poppy, les vélos de Lucien, les applications de mobilité multimodale, les navettes autonomes ou encore les services de taxi font également partie de ces solutions innovantes.

À propos de la Microlino

La majorité des ventes de la marque se feront via le site Internet depuis la maison ou le bureau. Quelques clics suffisent en effet pour configurer sa Microlino et passer commande. Mais ceux qui le souhaitent pourront aussi passer leur commande en ligne à l’occasion de leur visite en showroom.

Imaginée en Suisse par Wim, Oliver et Merlin Ouboter, la famille à l’origine de la célèbre trottinette Micro Kickscooter, la Microlino est le résultat d’une approche innovante, à la fois plus écologique et moins encombrante que les voitures mais plus confortable qu’un deux-roues. Avec une puissance nominale de 12,5 kW, un volume de coffre de 230 l (ce qui correspond au volume de trois packs de bouteilles d’eau par exemple) et une autonomie s’échelonnant de 90 à 230 km, la Microlino est le seul véhicule de cette catégorie à être doté d’un châssis monocoque. Ce type de construction améliore la qualité, la longévité et la sécurité par rapport aux châssis tubulaires conventionnels généralement utilisés dans les micro-cars par exemple. La Microlino est construite dans l’usine propriété de la marque à Turin, en Italie.

Rechargeable en trois à quatre heures sur une prise normale (selon le type de batterie), la petite citadine de 2,5 m de long trouvera donc un point de ravitaillement pratiquement partout. Grâce à un poids contenu avoisinant les 500 kg, le petit moteur électrique n’aura aucun mal à emmener ses deux occupants et le chargement du coffre de 230 l partout où ils le souhaitent, ni à rendre la conduite de la Microlino agréable. Cette microvoiture est un concentré de mobilité essentielle qui prend contrepied de la tendance actuelle à l’embonpoint de beaucoup d’automobiles.

Poppy Mobility, la start-up de mobilité partagée de D’Ieteren Automotive, double sa flotte à Gand pour répondre à la demande croissante.

D’ici la fin du printemps, 110 nouvelles voitures rouges circuleront à Gand. Elles s’ajouteront aux 90 autres véhicules, qui rencontrent un franc succès depuis le lancement en septembre 2022.
Six mois après l’arrivée des premières voitures rouges à Gand, Poppy se réjouit du succès de sa collaboration avec la ville. Selon Pierre De Schaezten, CMO de Poppy, les Gantois utilisent le service plus longtemps que dans n’importe quelle autre ville belge : «Les statistiques montrent que les Gantois apprécient particulièrement Poppy pour déplacer des objets lourds en ville, pour faire du shopping en périphérie ou pour un long week-end hors de la ville.»
Pour répondre à la demande croissante, la startup D’Ieteren Automotive a décidé de doubler sa flotte de véhicules. «La qualité du service s’en trouvera grandement améliorée», explique M. De Schaezten. «Le doublement de la flotte nous permettra de toujours proposer un véhicule à proximité de l’utilisateur tout en élargissant l’espace du service.»
Poppy Mobility propose des véhicules partagés sans stations fixes, qui peuvent être déverrouillés via une application mobile. Le système fonctionne avec un prix par minute, par heure ou par jour. Le carburant, le parking, l’assurance et l’entretien sont inclus.
L’entreprise, qui est également présente à Anvers, Bruxelles, Malines, Lier, Liège et dans les aéroports belges.

Le 17 mars 2023, une date anniversaire pour D'Ieteren et Volkswagen

D’Ieteren célèbre aujourd'hui le septante-cinquième anniversaire de la signature du contrat d’importation de la marque Volkswagen pour la Belgique. Un accord historique qui allait progressivement amener l’entreprise, aujourd’hui déjà plus que bicentenaire, à se positionner à la première place des importateurs sur le marché belge grâce à quelques bestsellers qui ont marqué l’histoire. 75 ans plus tard, D’Ieteren et le Groupe Volkswagen se lancent dans un nouveau défi commun avec la transition vers l’électromobilité.

Le contrat entre les Anciens Établissements D’Ieteren Frères et l’usine Volkswagen, alors encore sous administration anglaise, est signé le 17 mars 1948 sous l’impulsion de Pierre D’Ieteren. À la tête de l’entreprise familiale, il pressent la demande à venir pour une voiture accessible, fiable et économique. Il voit en la petite Volkswagen la manière par excellence de démocratiser la mobilité automobile. C’est un grand pas dans l’histoire pour la Maison D’Ieteren déjà active dans le domaine de l’automobile avec l’importation des voitures américaines Studebaker.

Les livraisons des premières Coccinelles arriveront chez nous, par la route, la même année. Le prix du véhicule en version standard s’élève alors à cinquante mille francs belges. Avant-gardiste dans sa conception et ses méthodes de production, le modèle connaîtra un succès retentissant, chez nous comme ailleurs. Le premier modèle, imaginé par Ferdinand Porsche, est équipé d’un moteur à 4 cylindres 1 131 cc de 25 chevaux refroidi par air et pèse moins de 700 kilos. Il est capable d’atteindre les 100 km/h tout en ne consommant que 7 ou 8 litres d’essence aux 100 km.

De 1954 à 1975, la Coccinelle sera aussi produite aux cotés des Studebaker dans l’usine bruxelloise de D’Ieteren Forest. Au total, ce sont 1 143 664 exemplaires qui sortiront des chaînes de montage belges.

Le 31 décembre 1970, l’usine a été acquise par Volkswagen AG et la nouvelle firme « Volkswagen Bruxelles S.A. – Brussel N.V. » a été portée sur les fonts baptismaux. À partir des années 1970, différents autres modèles des marques Volkswagen, Iltis, SEAT et Audi ont également quitté les chaînes de montage.

Aujourd’hui, les yeux se tournent vers un nouveau défi avec le passage à l’électromobilité et, pour ce faire, à une nouvelle génération de modèles, la gamme ID. Le Groupe Volkswagen a rapidement pris les devants en investissant massivement dans les nouvelles technologies liées aux moteurs électriques, aux batteries, à la réduction des émissions et à la connectivité. Son ambition est de développer une mobilité automobile neutre en CO₂.

Il s’agit d’un nouveau défi majeur que la Maison D’Ieteren se réjouit de pouvoir relever avec le Groupe Volkswagen.

Trois autres modèles parmi tant d’autres ont marqué l’histoire D’Ieteren et de Volkswagen:

Le Transporter, bon pour tous les métiers

Importé en Belgique à partir de 1950, le Transporter a également été produit chez nous. Dès le mois de février 1954, il est ainsi assemblé dans l’usine de Forest aux côtés de deux autres modèles Volkswagen entrés dans la légende : la Coccinelle et la Karmann-Ghia. En tout et pour tout, 16 560 exemplaires sortiront de l’usine bruxelloise de 1954 à 1962.

En près de 73 ans, il aura été décliné en 7 générations, du T1 au T7, et tout récemment en une version électrique baptisée ID. Buzz. Le design marquant de celui-ci reprend une série de lignes du T1, ce qui le rend immédiatement identifiable comme l’héritier de la success story des fameux « Bus » de Volkswagen.

La Golf, le bestseller universel

Lors de son lancement en 1974, la Golf s’inscrit au catalogue belge de la marque aux côtés de la Coccinelle, de la Passat (lancée en 1973), de la Scirocco, mais aussi des modèles 181, K70 et du Transporter T2. La Polo arrive l’année suivante et le modèle trois volumes Derby, un peu plus tard.

La Golf, digne héritière de la Coccinelle, assume ensuite le rôle de locomotive et de bestseller Volkswagen en Belgique. C’est elle la référence du marché, la voiture familiale universelle à laquelle les concurrentes se comparent.

Contrairement à la Coccinelle, la Golf sera déclinée en de nombreuses versions : Cabriolet, Variant, Country, Rallye, Plus, Sportsvan, Ecomatic et même en version électrique.

Lors de son lancement en 1974, la part du diesel n’excédait pas les 10 % du marché. La Golf diesel, lancée en 1976 (la même année que la GTI), prendra progressivement la plus grande part des ventes, pour culminer à plus de 80 % pendant la première décennie des années 2000. La tendance a commencé à s’inverser début 2012 pour revenir à près de 10 % actuellement.

Une nouvelle page

Avec la famille des modèles ID., Volkswagen embarque ses clients dans une nouvelle ère de la mobilité durable. Le premier modèle de la gamme de véhicules électriques basés sur la plate-forme MEB affiche un bilan carbone neutre. L’ID.3, lancée en 2019, s’inscrit à son tour dans la lignée de la Coccinelle et de la Golf, mais dans un contexte environnemental qui a complètement changé et avec des objectifs industriels nouveaux orientés vers une meilleure préservation de l’environnement.

L’ID.3 propose non seulement un concept automobile complètement inédit, mais peut également offrir aux conducteurs et passagers une mobilité au bilan carbone neutre, pour autant que la batterie soit rechargée avec de l’électricité verte. Ainsi, l’ID.3 symbolise le nouveau principe directeur de Volkswagen « goTOzero » : d’ici à 2050, l’ensemble du Groupe Volkswagen vise un bilan carbone neutre.

Poppy Mobility, la start-up de mobilité partagée du groupe D’Ieteren Automotive, offrant plus de 3000 véhicules, se lance dans sa première ville Wallonne : Liège

A l’instar d’autres grandes villes telles que Bruxelles, Anvers, Malines, Gand et les aéroports belges, Poppy Mobility étend son service à Liège et ce, dès aujourd’hui.

Tel que mentionné dans le Plan Communal de Mobilité de la Ville de Liège, le développement des offres d’autopartage permet, entre autres, d’engager un processus de réduction du taux de motorisation des ménages. En effet, considérant qu’une voiture particulière est stationnée inutilement 95% du temps au sein de l’espace public, le partage d’une même voiture entre plusieurs usagers permet d’optimiser son utilisation.

Le service proposé par Poppy Mobility est composé de véhicules partagés disponibles en libre-service, fonctionnant avec une application mobile d’où les utilisateurs peuvent réserver leur trajet, déverrouiller leur véhicule et commencer leur voyage. Le système fonctionne avec un prix par minute, par heure ou par journée. Le carburant, le parking, l’assurance et la maintenance sont inclus dans ce prix.

Les utilisateurs peuvent effectuer des trajets “inter-city”, c’est-à-dire prendre un véhicule dans une zone et le garer dans toute autre ville belge où Poppy est actif. Il est donc possible de voyager à travers la Belgique, mais également en France, aux Pays-Bas, en Allemagne ou au Luxembourg - à condition de ramener le véhicule dans une zone belge.

Poppy annonçait fin janvier, l’expansion de sa flotte de voitures partagées, passant de 1000 à 3000 dans les prochains mois. C’est au tour de la Ville de Liège d’accueillir le service de voitures partagées avec 80 voitures disponibles dès ce mardi (dont 5 véhicules utilitaires). Ces différents véhicules sont dispersés dans les rues et sont prêts à l’emploi. La zone Poppy-Liège couvre une majeure partie de la ville, ainsi que le Sart-Tilman, le zoning commercial de Rocourt et certains Interparking.

A propos de Poppy:

Grâce à la collaboration entre une jeune équipe locale entrepreneuriale et la société D’Ieteren, la startup Poppy Mobility a été lancée en janvier 2018 à Anvers. Poppy est une plateforme de mobilité partagée comptant à ce jour plus de 200.000 utilisateurs. L’application est la clé pour déverrouiller les véhicules, qui sont disponibles en libre-service dans les rues.

Les classiques du printemps approchent, il est temps de s'échauffer les mollets. C'est également ce que nous faisons chez Lucien. En ce printemps, nous renforcerons considérablement notre équipe, avec pas moins de quatre nouveaux magasins, à savoir des Alpha Bikes implantés à Lasne, Uccle et Woluwe-Saint-Lambert, ainsi que Cyclo Europe à Evere. Ces acquisitions sont un pas supplémentaire en vue de devenir l’enseigne préférée des Belges. Lucien compte désormais un total de 14 magasins à Bruxelles et à Anvers.

Alpha Bikes a été fondée en 2019 par les 2 frères Romão dans le but de créer un réseau de magasins de vélos où un service local de haute qualité et des marques renommées, telles que Cannondale, Granville et Bergamont, allaient de pair. Dès le premier jour, Alpha Bikes a voulu faire partie de la transition écologique et économique de la mobilité bruxelloise du futur. Une vision qui s’accorde pleinement avec celle de Lucien.

Carlos Romão, gérant et ancien propriétaire d'Alpha Bikes : « Dès le premier contact, nous avons apprécié l'approche de Karl et avons trouvé en Lucien les valeurs que nous défendons également chez Alpha Bikes. Nous sommes convaincus que notre idée originale, le virage de la mobilité écologique et économique, sera encouragée de manière plus globale grâce à cette collaboration avec Lucien, de manière à ce que nous atteignions un public plus large, sans sacrifier le service et la qualité. Notre rêve était de voir un magasin Alpha Bikes partout. Nous ne pouvons que nous réjouir du fait que cela se réalise avec Lucien. »

Cyclo Europe Evere a vu le jour en 1991, sous l'impulsion de Frank Rombaut. Depuis 2002, avec Nadine Morel, c’est une femme qui tient fermement les rênes. Et Cyclo Europe franchit maintenant le pas vers Lucien. Entre-temps, l'activité de l'entreprise s'est non seulement réorientée des vélos de course vers les vélos de ville et les vélos électriques, mais elle a également déménagé dans des locaux plus spacieux à Evere.

Nadine Morel, manager du magasin et anciennement propriétaire de Cyclo Europe : « Avec l'évolution actuelle du monde du vélo, des acteurs plus importants entrent en scène, capables d'améliorer encore la mobilité et de soutenir les consommateurs dans ce processus. Chez Lucien, nous avons trouvé la même vision que la nôtre : la qualité et le service aux clients sont numéro un. Travailler ensemble pour faire de Bruxelles une ville cycliste à l'avenir. Moins de voitures et un cadre de vie plus agréable pour les habitants. Avec cette reprise, nous sommes sûrs que nos clients continueront à bénéficier du même service de haute qualité. »

Karl Lechat, Managing Director de Lucien : « Après 7 magasins dans la région d'Anvers, nous en comptons autant à Bruxelles grâce à ces acquisitions. Une belle couverture de la région, par laquelle nous voulons prendre pleinement soin des cyclistes en matière de vente et d'après-vente, tant au niveau B2C que B2B. Avec Cyclo Europe, nous profitons d'années d'expérience dans le domaine du cyclisme et d'une forte spécialisation dans la marque Stromer (les speed pédélecs suisses). Et avec Alpha Bikes, nous bénéficions d'un seul coup de trois magasins très bien situés et d'une équipe dynamique. »

Mais l'histoire ne s'arrête pas là, car comme tout sportif de haut niveau, Lucien est ambitieux. L'objectif est donc de poursuivre l'histoire de Lucien dans d'autres centres-villes au cours des prochains mois. Affaire à suivre.